R.P.I :
Lu dans l'Internaute magazine :
Comme tous les ans, les hommes politiques se livrent (à leurs dépends) à une compétition sans merci pour savoir lequel d'entre eux remportera le prestigieux Prix de l'humour politique, récompense décernée par le prestigieux Press Club (club qui se décrit comme le lien entre les journalistes et les acteurs de la vie économique, politique et culturelle). Cette année, le prix 2005 est revenu à Nicolas Sarkozy pour sa petite phrase "Je ne suis candidat à rien", lors de la campagne pour le réferendum sur la Constitution européenne. Découvrez la liste des autres candidats.
Lauréat 2004 :
Jean-Louis Debré (à propos de la Corse) : "Je n'imagine pas un instant cette île séparée du continent".
Vainqueur 2005 :
Nicolas Sarkozy : "Je ne suis candidat à rien".
Candidats 2005 :
Jean-Luc Benhamias (ancien secrétaire national des Verts) : "Le miracle permanent des Verts, c'est que les gens nous attendent encore pour refaire le monde".
Jean-Louis Debré (président de l'Assemblée nationale, après la réception de la délégation du CIO) : "A l'Assemblée on s'occupe des J.O. et on laisse les Jeux paralympiques au Sénat".
Valéry Giscard d'Estaing (parlant du projet de Constitution européenne) : "C'est un texte facilement lisible, limpide et assez joliment écrit : je le dis d'autant plus aisément que c'est moi qui l'ai rédigé".
Robert Hue (ancien secrétaire national du PCF) : "Si Bush et Thatcher avaient eu un enfant ensemble, ils l'auraient appelé Sarkozy".
Manuel Valls (député-maire PS d'Evry) : "J'étais partisan du non, mais face à la montée du non, je vote oui".
Michel Barnier (ancien ministre des Affaires étrangères) : "Que l'on soit pour ou contre la Turquie, on ne pourra pas changer l'endroit où elle se trouve".
Malek Boutih (secrétaire national du PS à propos de la venue de Lionel Jospin aux universités d'été du PS) : "Cela fait toujours plaisir de revoir ses grands-parents".
Hervé Gaymard (ancien ministre de l'Economie) : "Je n'ai pas le sentiment de tromper ma femme quand je suis avec la France".
Bernard Poignant (PS, parlant de Laurent Fabius) : "L'an dernier, les carottes étaient râpées, cette fois elles sont cuites".
Jean-Pierre Raffarin : "Les veuves vivent plus longtemps que leurs conjoints".
Manuel Valls (député-maire PS d'Evry) : "J'étais partisan du non, mais face à la montée du non, je vote oui".
Michel Barnier (ancien ministre des Affaires étrangères) : "Que l'on soit pour ou contre la Turquie, on ne pourra pas changer l'endroit où elle se trouve".
Malek Boutih (secrétaire national du PS à propos de la venue de Lionel Jospin aux universités d'été du PS) : "Cela fait toujours plaisir de revoir ses grands-parents".
Hervé Gaymard (ancien ministre de l'Economie) : "Je n'ai pas le sentiment de tromper ma femme quand je suis avec la France".
Bernard Poignant (PS, parlant de Laurent Fabius) : "L'an dernier, les carottes étaient râpées, cette fois elles sont cuites".
Jean-Pierre Raffarin : "Les veuves vivent plus longtemps que leurs conjoints".
Par ailleurs, un Prix spécial du Jury a été accordé à Valéry Giscard d'Estaing, ancien président de la République, pour "l'ensemble de son oeuvre".
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