Et maintenant...une page de publicité...

Après...ELECTRO-HOUSE 2007 et le meilleur de la zyk electro de l'année :

Après...TECHNO 2007 et le meilleur de la zyk techno de l'année :

Après...RAP & R'NB 2007 et le meilleur de la zyk rap et areinebi :

Voici...UP & DOWN 2007 et le meilleur des musiques d'ascenseur en 2007 ! :

Et surtout... WC 2007 : le meilleur de ce qu'on chante quand on est sur le trône !!!

UP & DOWN 2007 et WC 2007...maintenant disponibles, CHEZ VOUS !

T.D.V.O.V.B.I : Dure la vie de Podophobe...

...Et dire que les tongs sont (déjà...) de retour...

La dernière interview que j’ai accordée à un magazine cinématographique date d’août 2005 et de cette daube sans nom qui s’appelle « The Island » (une daube sans nom qui s’appelle ? hum hum encore un paradoxe). J’ai renouvelé l’expérience avec une interview du fameux « Tarantino Mag » ce mois-ci :

Tarantino Mag : Alors Nick, j’ai cru comprendre que vous aviez vu Kill Bill 1 et 2 ce week-end. Qu’en avez-vous pensé ?

Nick Google : Un très bon Tarantino à vrai dire. J’aime beaucoup Tarantino. J’ai d’abord vu « Pulp Fiction », que j’ai trouvé très novateur dans le style « entre deux tueries, on fait des dialogues philosophiques très fins, ou des allusions sur la vie de tous les jours assez drôles ». Puis j’ai vu « Jackie Brown » où j’ai retrouvé cet esprit, avec également, dans tous ses films, j’ai oublié de le préciser, une réalisation intéressante dans laquelle on joue sur la chronologie et/ou sur le placement des personnages. Enfin, « Reservoir Dogs » (son premier film) qui est plus sanguinaire, mais dans lequel on sent déjà sa patte.

T.M : Mais on dit en général que Kill Bill est un Tarantino « différent ». En quoi est-il différent des films que vous venez de citer ?

N.G : Je pense que les gens font allusion au fait que Quentin s’est fait plaisir en mélangeant les styles qui l’on fait vibrer dans sa jeunesse, ou qui le font toujours vibrer d’ailleurs : westerns spaghettis, polars hollywoodiens des années 50/60, films de kung fu…Et le résultat est vraiment réussi. Bref, il a voulu s’amuser à synthétiser ses plaisirs de gosse devant l’écran.

T.M : Et les acteurs ?

N.G : Les acteurs sont tous très bons : Les Lucy Liu, Vivica Fox, Daryl Hannah, Julie Dreyfus (et une mention toute particulière à Chiaki Kuriyama) , et les David Carradine, Michael Madsen, Chia Hui Liu…) sont vraiment excellents…Il y a tout de même une chose que je ne comprends guère…Il est mentionné à un moment que Uma Thurman est « belle »…euh..Joker.

T .M : Vous ne la trouvez pas jolie ?

N.G : Euh. Non. D’autant plus qu’il y a un véritable problème pour moi dans ce film. Je suis podophobe. Et l’on voit au moins 5 gros plans de pieds. Un véritable supplice !!! Surtout au début du film lorsqu’elle ordonne à son gros orteil de bouger…Quelle horreur !! J’ai failli vomir de dégoût !

T.M : Oui je comprends…Un dernier mot sinon ?

N.G : Tarantino est un excellent réalisateur, dans le sens où il arrive à avoir un style bien à lui, tout en s’inspirant de bons nombres d’influences d’origines diverses. Très fort ! Et les dialogues sont vraiment savoureux, notamment le dialogue de fin, lorsque David Carradine parle de sa fascination pour les super-héros, en particulier pour Superman…sa vision m’a fait réfléchir…bref, un régal !

extrait de Tarantino Mag. Interview donnée par Bill Ouface.

R.P.I : Revue de Presse Intersidérale

Aujourd'hui, dimanche premier avril, c'est la saint Poisson...

Bonne Fête à tous les Poissons, en particulier les rouges !!

Oui, je sais j'aurais pu dire que je sors avec Britney Spears, que j'ai coécrit les paroles des chansons de Tony Parker, que j'ai réussi à regarder des tongs plus de 3 secondes sans détourner mon regard d'un air de dédain, que j'ai réussi à tenir plus d'un mois avec un seul pot de Nutella, que j'ai trouvé le dernier discours de Ségolène Royal interessant, mais non. Pas de blagues aujourd'hui. J'en fais assez comme ça tout le long de l'année.

Et puis le monde va mal. Très mal...

Phrase appropriée qui conclut bien ce post inutile, et qui fût prononcée à maintes reprises par un camarade de lycée qui se reconnaitra peut-être :

"On est tombés dans un bocal."